Rencontre des anciens du Glaizil le 17 juin 2012
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Super rencontre !
La rencontre s’est bien déroulée, dans le « timing » prévu. Nous étions assez peu nombreux (15 à l’école + les épouses) mais la journée a été très très sympa ! Vraiment ! Il fallait écouter le Père Laferrière nous raconter ses anecdotes désopilantes sur l’école ou le Glaizil, pour comprendre la bonne ambiance et la gaieté qui régnaient parmi nous !
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9h30 . On se retrouve devant l’école.
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Il y avait, dans les années 50-60, une entrée de l’école sur cette place Miollis. Une grande partie des élèves passait par là. Le 17 juin 2012 c’était vraiment curieux d’être là, sur cette place, 50 ans plus tard…..pour aller dans la même école.
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Ouverture des portes.
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La responsable de l’école nous accueille et les premiers arrivent. Tout à fait à gauche, Jean Claude Burles.
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Les retrouvailles :
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Des retrouvailles chaleureuses. C’est toi Christian ? C’est toi Jacques ? pas possible….Sympa !
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Pour cette photo, les épouses se sont éloignées. On repère, Maxime Delaye, Patrice Alaniou (le plus grand) , Vera José (le barbu), Alain Rosa (pantalon blanc), Eugène Caire, Francis Fonta, Pierre cassar (complètement à gauche en chemise blanche), Hubert Charbonnel, Jacques Veith, Philippe Lecourtier (au centre chemise blanche, bras croisés)
Manquent sur cette photo, Jean Claude Burles et Christian Minière. Christian est venu un peu plus tard.
D’autres ne sont venus que pour voir le Père Laferrière, je pense à Bernard Costantini ou encore à Espérance Ruiz de Mendoza ancienne monitrice du Glaizil……
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2 Portraits
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Deux beaux clichés adressés par Jean-Claude Burles, concernant José Vera à gauche et Alain Rosa à droite.
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Prêts pour la visite de l’école.
Classe de M. Daumas.
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La classe de M. Daumas. Chacun y va de son histoire…..que de souvenirs. Aujourd’hui, l’école est devenue une maternelle. Tout a été restructuré, et parfois on ne reconnaissait pas bien les lieux.
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La classe de M. Daumas vue sous un autre angle. Rester seul dans une pièce permet de mieux accueillir l’ambiance.
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Couloir du Rez de Chaussée.
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Nous nous dirigeons vers la classe de M. Béninca.
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La Classe de M. Beninca.
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La grande baie vitrée de la classe de M. Beninca a disparu. Elle a été remplacée par une simple fenêtre. La porte d’entrée qui se trouvait au fond (à gauche de la climatisation) a disparu. Les deux marches également.
La classe de M. Cabrol n’existe plus. Une partie a été prise par le couloir (qui n’existait pas), l’autre partie par les toilettes.
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La Chapelle a été transformée en réfectoire.
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La chapelle de l’école a été transformée en réfectoire. Il me semblait que cette chapelle était plus large que ça. En hauteur elle a été également divisée. Une autre pièce se trouve au dessus.
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En sortant de la chapelle, sur la gauche, l’escalier qui conduit au premier étage. Sur la photo de droite, on devine au bout la sortie. Sur le mur de droite, il y avait la porte d’entrée de la classe de M. Béninca.
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Le Haut de la Chapelle.
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Voici donc le haut de la chapelle qui se trouve au premier étage.
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Au premier étage également, la classe de M. Balez
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Au premier étage de l’école, la restructuration a été importante. La discussion s’est donc engagée pour savoir où se trouvait telle ou telle chose. Regard bienveillant de M. Balez sur ses anciens élèves. Les autres classes (CP, CE1, CE2) ont disparu remplacées par les bureaux de l’école.
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…..et la conversation s’installe
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Le Préau
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Le préau a été décalé et ne touche plus le mur de l’école (pour des raisons de luminosité ? ). Sur la droite, on ne les voit pas, les robinets d’eau pour les enfants. En face, le nouveau bâtiment où se trouvent quelques classes au rez-de-chaussée. Au dessus ce sont des logements d’habitations, tout ce qu’il y a de plus classique.
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On voit très bien sur ce cliché les classes qui se trouvent au Rez de Chaussée du nouveau bâtiment. A remarquer la sortie de l’école qui débouche sur le boulevard Carnot et qui utilise l’ancien passage. A doite de ce passage (on ne le voit pas) le bureau d’accueil . (Cliché de Jean Claude Burles)
Quelques photos intéressantes par-ci par-là……
La statue de Sainte Jeanne d’Arc ….mise au rencard (dans la courette qui se trouvait contre la classe de M. Cabrol). La peinture vient d’être refaite.
Il s’agit bien-sûr d’un montage. Ces cinq dessins se trouvent dans la cour de récréation et font chacun 2m sur 1m50 ! Deux photos plus haut (préau) on en voit trois au fond de la cour.
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La classe de M. Cabrol a disparu pour être transformée en une salle de repos.pour les enfants et des toilettes. A l’époque les WC se trouvaient sous le préau.
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La classe de M. Balez. Cette photo m’a été transmise lors de la rencontre du 17 juin. Pour lire l’article concernant M. Balez: Cliquez ICI.
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Le départ.
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Deuxième pose pour une photo de groupe.
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Dernier regard
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Entrée de l’école Jeanne d’Arc
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Direction la maison de retraite du Père Laferrière.
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Le foyer Sacerdotal Saint Marc (maison diocésaine).
10 Avenue Jean et Marcel Fontenaille . AIX
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J’ai reçu un mot très complet de Maxime Delaye sur cette belle journée.
Salut les copains, les amis,
Finalement, ce dimanche 17 juin, à Aix, nous n’étions qu’une vingtaine au total (fête des pères et élections …) et une dizaine pour la messe, célébrée par le Père, et le pique-nique partagé, à l’ombre sur la terrasse du foyer. Nombre d’anciens, habitant sur Aix, sont passés faire un petit coucou.
Nous avons vécu un dimanche très réconfortant, à la rencontre de l’abbé Laferrière (87 ans), à qui nous avons passé vos bonjours. Ca a été la fête du Père, en quelque sorte. Il était très heureux de se voir entouré. Le poids des années l’ont un peu courbé, mais son enthousiasme, sa force, sa franchise, sa droiture, restent dans son regard.
La maladie l’a contraint de quitter sa paroisse de Velaux, il y a 4 ans et on le sent heureux, dans sa nouvelle maison, bien entouré. Il ne renoncera jamais : « Ma nouvelle paroisse est le service de dialyse de l’hôpital d’Aix »; et de nous énumérer tous ceux, fils, ami, belle-fille d’un tel ou un tel, qui passent le voir, personnel hospitalier, durant ses heures de traitement.
Un homme très dévoué, avec un mental inébranlable. Une mémoire infaillible. Il se souvenait de chacun d’entre nous (je ne l’avais vu depuis plus de vingt ans), avec nos traits de caractère; et durant ce moment passé ensemble, combien nous a-t’il citées de personnes connues, avec force détails.
Il m’a très impressionné. Tout le long du repas, il nous a raconté des anecdotes comiques, durant ses années de colos; ses mésaventures avec la brigade de gendarmerie de St Firmin, qui pistait l’état des pneus de sa légendaire De deuche.
J’ai mesuré tout son immense dévouement, dans l’humilité. Une vie remplie du don de soi-même, avec une multitudes de responsabilités sacerdotales en tous genres : les organisations de pélerinages, l’aumônerie des scouts, … Cette colo du Glaizil, qu’il n’a cessé d’agrandir, pour pouvoir accueillir toujours plus d’enfants. Il n’a reculé devant aucune tâche. Au-delà du prêtre, du chef de chœur, du pédagogue, de l’éducateur, ses talents d’organisateur, de négociateur, de bricoleur, d’homme à tout faire (il conduisait même les cars), de constructeur, de rassembleur, …
Finalement, ce que nous sommes, tous, nous le lui devons un peu, beaucoup, intensément …
Et toujours tourné vers l’avenir. Durant la messe, s’adressant aux pères et grand-pères que nous sommes devenus, Il nous a fait un sermon, sur les petites graines que nous avons plantées et qui, tôt ou tard, finissent par germer un jour … et donner beaucoup de fruits
Il nous a à tous émis son souhait, que nous passions le voir, à l’occasion.
Alors, voilà, l’appel est lancé.
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Nous venons d’apprendre avec stupéfaction le décès de Maxime Delaye au décours d’une opération toute simple, le dimanche 9 décembre 2012 alors que rien ne le laissait présager…….Est-ce possible !!!! Un article a été mis en place pour donner les dernières informations, à tous ses (nos) amis.
Pour plus d’infos cliquez ICI.
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La Messe
La Messe
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La messe a été dite pour tous les défunts de l’école Jeanne d’Arc et du Glaizil. Ont été cités, Charles Balez, Bartelémy Béninca, Mme Audibert, Abel Cabrol, Jean Marie Basso, et Patrick Lecourtier.
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Un repas très convivial.
La terrasse de la maison St Marc était si agréable que finalement nous y sommes restés pour parler tranquillement. Nous ne sommes pas allés au barrage Bimont.
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Parlant du Père Laferrière, Maxime Delaye écrivait juste un peu plus haut « Un homme très dévoué, avec un mental inébranlable. Une mémoire infaillible. Il se souvenait de chacun d’entre nous (je ne l’avais vu depuis plus de vingt ans), avec nos traits de caractère; et durant ce moment passé ensemble, combien nous a-t’il citées de personnes connues, avec force détails. Il m’a très impressionné. Tout le long du repas, il nous a raconté des anecdotes comiques, durant ses années de colos; ses mésaventures avec la brigade de gendarmerie de St Firmin, qui pistait l’état des pneus de sa légendaire De deuche ».
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« La maladie (insuffisance rénale) l’a contraint à quitter sa paroisse de Velaux, il y a 4 ans et on le sent heureux, dans sa nouvelle maison, bien entouré. Il ne renoncera jamais : « Ma nouvelle paroisse est le service de dialyse de l’hôpital d’Aix »; et de nous énumérer tous ceux, fils, ami, belle-fille d’un tel ou un tel, qui passent le voir, personnel hospitalier, durant ses heures de traitement. » (Maxime Delaye)
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« Une vie remplie du don de soi-même, avec une multitudes de responsabilités sacerdotales en tous genres : tenir sa paroisse, construction d’une église au Pont de L’Arc, organisations de pélerinages, l’aumônerie des scouts…… Finalement, ce que nous sommes, tous, nous le lui devons un peu, beaucoup, intensément ... » (Maxime Delaye)
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Au cours du repas nous avons eu plusieurs passages d’anciens. Un geste tout simple mais qui fait plaisir…….
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Cette photo a été prise par Bernard Costantini.
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Le Père nous a raconté plein de petites histoires mais a abordé aussi des sujets plus sérieux comme l’évolution du scoutisme, l’éducation des jeunes. A remarquer sur cette photo la visite de M. Jean (au fond, à gauche) qui vit à la maison de retraite St Marc.
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Cinq petites histoires racontées par le père…. (nouveau film)
Pour ceux qui ont connu le patronage et le Glaizil, 8 mn très intéressantes…..
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Le webmaster (web-serviteur) de la journée.
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J’ai reçu cette photo de Bernard Costantini. J’écoutais attentivement le mari d’Espérance qui nous parlait de la nouvelle législation sur les colonies et les constructions de bâtiments. D’accord avec lui…..ça devient compliqué !
– Première rencontre au Glaizil en 2009. Cliquez ICI.
– Deuxième rencontre en 2010 . La Salette. cliquer ICI.
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